La fin des temps,
Le monde avait subi un hiver nucléaire
Et l’air était devenu pestilentiel
Des milliards de morts et quelques pauvres hères
Qui survivaient aux pieds des gratte-ciels.
Lourde perte des notions d’humanité
La survie primait, retour à des temps barbares
La loi du plus fort régnait, l’illégalité
Etait de règle, de beaux jours pour les pillards.
Tout n’était que chaos, la folie absolue
Les hommes s’entretuaient, l’instinct animal
Les menait à une existence dissolue
Le bien disparu, ne restait que le mal.
Une lueur d’espoir dans ce noir incertain
Du fond du cosmos, arrivait un météore
L’histoire se répète au moment opportun
Pour mettre fin aux humains, à leur âge d’or !